Droit fondamental à l'éducation

une école pour tous, un droit pour chacun

Droit fondamental à l'éducation

une école pour tous, un droit pour chacun

Droit fondamental à l'éducation

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qui sommes nous

L’association « Défense des droits des enfants handicapés, accueil et scolarité » a été fondé en 2017, par Nacéra Soltani et des familles au sein desquelles il y a un ou plusieurs enfants porteurs de handicap.
Sa vocation est de soutenir et défendre la scolarisation des enfants en situation de handicap atteints de déficiences motrices avec ou sans troubles associés, de troubles cognitifs, handicaps d’origines neurologiques que sont le TSA (trouble du spectre autistique) le TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) ou les troubles DYS (dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyspraxie, dyscalculie) ou tout autre handicap.

Thibaut De Martimprey, malvoyant de naissance.

Être handicapé, cela forcément entraîne des difficultés. Il faut s’adapter. C’est de l’organisation pour les cours, les partiels... Mais les profs sont conciliants. Une fois que les adaptations sont faites, ça se passe plutôt bien, même si on apprend plus à se débrouiller et à développer le système D. Je ne sens pas de discrimination, même si les autres étudiants n’ont pas été pour la plupart confrontés au handicap auparavant. Pour être au même niveau, il faut faire preuve de volonté.

Fadia – 2e année – licence de psycho – 19 ans

Je rencontre des problèmes avec les ascenseurs qui sont tout neufs et qui tombent souvent en panne. Au niveau accessibilité, les plus gros problèmes se posent sur la façon dont le plan de la fac est fait, ne serait-ce que pour les issues de secours : si on se retrouve au 5e étage on ne peut pas redescendre car on ne peut prendre l’ascenseur. Au niveau des toilettes, des aménagements ont été faits sans être pensés jusqu’au bout. Ils en ont mis histoire de dire qu’ils ont fait installer des toilettes handicapés.

Jérôme - Université Denis Diderot

Après avoir tenté le CNED il y a 4 ans, Jérôme s’inscrit à l’Université. Pour lui, le relais handicap est une chance. « Ici, il y a un bon suivi. Ils regroupent tout ici, j’ai beaucoup d’information, on nous balade pas de services en services. »

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